Œuvres-sociales : Différence entre versions
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− | * [http://www.ugecam-brpl.fr/etablissements/cssr-kerampir Maison de repos de Kerampir à Bohars] <br> | + | * [http://www.ugecam-brpl.fr/etablissements/cssr-kerampir Maison de repos de Kerampir à Bohars] :<br>Le manoir de Kerampir à Bohars est acquis en 1959 par la CPAM du Nord-Finistère. Il était précédemment la propriété de l’amiral Lavaud. Une Maison de repos et de convalescence est installée dans le manoir dont la gestion est assurée tout d’abord par le CHU de Brest. Par la suite, un projet de création d’une maison de retraite de 80 places est approuvé par le conseil d’administration de la Fédération CPAM29N-CRAMB en 1967. En effet les CPAM n’étant pas autorisée à gérer des maisons de retraite une fédération spécifique est constituée à cet effet. Une construction d’un nouveau bâtiment est lancée sur le site de Kerampir pour héberger la maison de retraite et la maison de repos et de convalescence. Le manoir qui était récent et ne présentait pas d’intérêt architectural est démoli à cette occasion. La CPAM reprend la gestion de la MRC confiée préalablement au CHU de Brest. Les nouvelles installations sont ouvertes en 1971. La maison de repos et convalescence (MRC) comprend 52 places qui sont une structure de dégagement principalement des services actifs du CHU et des cliniques brestoises. Progressivement comme pour les autres établissements de ce type la partie «repos» diminue au profit d’une convalescence active et progressivement vers la réadaptation. |
− | Le manoir de Kerampir à Bohars est acquis en 1959 par la CPAM du Nord-Finistère. Il était précédemment la propriété de l’amiral Lavaud. Une Maison de repos et de convalescence est installée dans le manoir dont la gestion est assurée tout d’abord par le CHU de Brest. Par la suite, un projet de création d’une maison de retraite de 80 places est approuvé par le conseil d’administration de la Fédération CPAM29N-CRAMB en 1967. En effet les CPAM n’étant pas autorisée à gérer des maisons de retraite une fédération spécifique est constituée à cet effet. Une construction d’un nouveau bâtiment est lancée sur le site de Kerampir pour héberger la maison de retraite et la maison de repos et de convalescence. Le manoir qui était récent et ne présentait pas d’intérêt architectural est démoli à cette occasion. La CPAM reprend la gestion de la MRC confiée préalablement au CHU de Brest. Les nouvelles installations sont ouvertes en 1971. La maison de repos et convalescence (MRC) comprend 52 places qui sont une structure de dégagement principalement des services actifs du CHU et des cliniques brestoises. Progressivement comme pour les autres établissements de ce type la partie «repos» diminue au profit d’une convalescence active et progressivement vers la réadaptation. | ||
L’établissement a été confié en 2000 à l’Ugecam Bretagne — Pays de Loire. | L’établissement a été confié en 2000 à l’Ugecam Bretagne — Pays de Loire. | ||
Il propose sur 50 lits une prise en charge pour des soins de suite et de réadaptation polyvalents à temps complet complétée par des soins de suite concernant les affections des personnes âgées souffrant de polypathologies. | Il propose sur 50 lits une prise en charge pour des soins de suite et de réadaptation polyvalents à temps complet complétée par des soins de suite concernant les affections des personnes âgées souffrant de polypathologies. |
Version du 26 mai 2020 à 08:29
- Centre de convalescence de Colpo
- Maison de repos de Kerampir à Bohars :
Le manoir de Kerampir à Bohars est acquis en 1959 par la CPAM du Nord-Finistère. Il était précédemment la propriété de l’amiral Lavaud. Une Maison de repos et de convalescence est installée dans le manoir dont la gestion est assurée tout d’abord par le CHU de Brest. Par la suite, un projet de création d’une maison de retraite de 80 places est approuvé par le conseil d’administration de la Fédération CPAM29N-CRAMB en 1967. En effet les CPAM n’étant pas autorisée à gérer des maisons de retraite une fédération spécifique est constituée à cet effet. Une construction d’un nouveau bâtiment est lancée sur le site de Kerampir pour héberger la maison de retraite et la maison de repos et de convalescence. Le manoir qui était récent et ne présentait pas d’intérêt architectural est démoli à cette occasion. La CPAM reprend la gestion de la MRC confiée préalablement au CHU de Brest. Les nouvelles installations sont ouvertes en 1971. La maison de repos et convalescence (MRC) comprend 52 places qui sont une structure de dégagement principalement des services actifs du CHU et des cliniques brestoises. Progressivement comme pour les autres établissements de ce type la partie «repos» diminue au profit d’une convalescence active et progressivement vers la réadaptation.
L’établissement a été confié en 2000 à l’Ugecam Bretagne — Pays de Loire.
Il propose sur 50 lits une prise en charge pour des soins de suite et de réadaptation polyvalents à temps complet complétée par des soins de suite concernant les affections des personnes âgées souffrant de polypathologies.
La maison de retraite de 80 places est devenue un EPHAD.
- Maison de repos de Saint-Yvy
- Maison de repos de la Pierre blanche à Bourg des Comptes
- Maison de Retraite du Connétable à Dinan
- Centre de gériatrie de Chantepie
- Pouponnière de Kérivin :
Située à Guipavas près de Brest la pouponnière est créée par la Mutualité Sociale Agricole du Finistère en 1957. Il s’agissait d’un petit établissement destiné à la prise en charge des enfants de 1 jour à 3 ans prématurés ou menacés de contagion tuberculeuse des parents. La pouponnière est admise au Service Public Hospitalier en 1978. En 1993, elle est rattachée à l’association Ty Yann sous le nom de la Passerelle. En 1995, l’activité est transférée à Brest.
- Association de gestion des appareils d’assistance respiratoire (AGAAR) au Relecq-Kerhuon
- APAMO pour les malentendants
Centres de vacances
Les créations des centres de vacances par les CAF de Bretagne s’inscrivent dans une politique nationale pour favoriser les vacances des allocataires ayant peu de moyens financiers. Dès 1936, suite aux textes favorisant les loisirs, les caisses de compensation de l’époque s’engagent dans l’aide pour le départ en colonies et en camp de vacances de leurs ressortissants. L’après-guerre voit la création des CAF avec une priorité fixée en particulier par le plan d’action sociale des CAF de 1948 vers l’aide aux vacances pour les familles ayant des revenus modestes. Cette aide aux vacances se traduit par des bons vacances ou par des aides au fonctionnement ou à l’investissement. Dans cette période d’après-guerre, les CAF sont relativement libres de leurs initiatives et un certain nombre d’organismes, dont les Caisses bretonnes, créent des centres de vacances pour leurs allocataires. C’est dans ce cadre que s’inscrivent les créations des œuvres répertoriées ci-après. En 1964, les CAF bretonnes décident de la création d’une Fédération bretonne des caisses d’allocations familiales afin de gérer les centres familiaux de vacances des organismes adhérents. Elle gérera pour le compte des CAF :
- Centre du Dourdy à Loctudy
- Le moulin de Quip à Allaire
- Ker Loc’h Gwen à Combrit
- Centre de Kerallic à Plestin-les-Grèves
- Manoir de la Vicomté à Dinard
Seul le manoir de la Vicomté à Dinard restera géré directement par la CAF d’Ille et Vilaine. Ainsi que rappelé ci-dessus, l’évolution des besoins et des modes de vacances des allocataires à entraîné ces dernières années, les organismes à abandonner la gestion des œuvres ce qui se traduit par la dissolution de la Fédération et la mise en vente du Manoir de la Vicomté.